Être moteur et acteur de sa guérison

Le véritable moteur de la guérison n’est pas le médecin ! Et quels qu’ils soient, chimiques ou naturels, ce ne sont pas les médicaments !
Ces deux affirmations sont volontairement provocatrices, mais c’est pourtant la réalité.
Dès l’enfance, la plupart d’entre nous a fonctionné selon le schéma suivant : “Quant tu es malade, Maman fais venir le médecin. Il t’ausculte, te fais tousser, prend ta tension, … Et il pose un diagnostic. Alors, il te prescrit des médicaments, et … tu guériras, mon enfant !”
Plus tard, lorsqu’une maladie surviendra, nous appellerons un médecin ; nous suivrons des traitements, tout en étant convaincus que ceux-ci nous guériront. Et ça marchera !
Sûreté du diagnostic ? Effet des traitements ? Effet placebo ? Réponse adaptée du système immunitaire du malade ? Souvent tout à la fois !
Mais lorsqu’un doute surgit … Le moteur tombe en panne !
Quand un malade apprend qu’il s’agit d’une pathologie grave, quand le corps médical n’est pas certain de pouvoir administrer le bon traitement, la mécanique s’enraye. Le moteur tombe en panne. En d’autres termes, nos croyances s’effondrent au point que l’on se sent totalement démuni.
Or, c’est le malade qui guérit. Si un médecin peut réunir les conditions favorables pour aider un malade à guérir, il ne le fera pas à sa place. Quant aux médicaments, ils représentent le plus souvent le starter qui fait démarrer un moteur à froid. Dans certains cas, ils offriront au corps le répit nécessaire pour qu’il se reconstruise, et dans d’autres cas, ils permettront au système immunitaire de se mette en action pour éradiquer durablement le mal.
L’image de l’entraîneur et du champion
En effet, tout comme un entraîneur ou un préparateur physique ne pourront pas courir, sauter, nager, jouer, …, et remporter une victoire à la place d’un sportif, la meilleure équipe médicale ne pourra guérir un malade. Elle pourra, et c’est heureux, le mettre dans les meilleures conditions qui soient. Elle pourra lui prodiguer des soins de mieux en mieux adaptés. C’est énorme, mais c’est tout ! Le gros du travail restera celui que votre corps, votre mental, et votre esprit, effectueront.
Dans bien des circonstances le chemin de guérison n’est pas un long fleuve tranquille. Il comporte souvent bien des obstacles à surmonter. Voilà pourquoi il faut incarner la guérison au plus profond de soi-même ; une incarnation qui passe avant tout par une véritable prise de conscience : Le malade est le véritable moteur du processus de guérison.
Quelques notions à connaître
Les maladies qui interviennent au cours d’une vie ne sont pas uniquement des fatalités. Nous pouvons être « acteurs » de notre guérison, c’est notre mission ! C’est l’esprit des 7 notions que nous diffusons à l’attention des personnes atteintes au cours de leur vie d’une grave maladie.
Pour approfondir la 1 ère de ces 7 notions à travers des explications théoriques, mais aussi grâce à des témoignages, cliquez ici : “C’est toi qui guéris”