C’est toi qui guéris !
En synthèse :
Se résigner, tout comme déléguer sa guérison, revient à abandonner son destin aux mains d’autres personnes, et à laisser le champ libre à des facteurs externes non maîtrisés.
Un médecin peut réunir des conditions favorables pour aider un malade à guérir, mais il ne le fera pas à sa place. Les médicaments qu’il prescrira représente le starter qui fait démarrer un moteur froid. Dans certains cas, ils offriront au corps le répit nécessaire pour qu’il se reconstruise. En d’autres termes, ces substances chimiques (ou naturelles) d’appoint vont permettre aux cellules de mieux se mettre en action pour éradiquer le mal.
Cependant, cette prise de conscience, si primordiale soit-elle, n’est pas suffisante. Encore faudra-t-il que vous vouliez guérir.
En effet, aussi scandaleux que cela puisse paraitre à certains, un malade doit être prêt à renoncer à tous les avantages que confère la maladie. Conscients ou inconscients, il y en a bien plus que l’on ne croit.
Hippocrate qui, vous le conviendrez aisément n’a pas dit que des bêtises, demandait déjà en son temps à tous ceux qui venaient le consulter : « Qu’es-tu prêt à abandonner pour guérir ? ».
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Les médecins deviennent dans l’ensemble ” plus ouverts ” à la prise en charge personnelle. En 6 ans, j ai pu constater une vraie différence
Je n’avais pas réalisé à quel point je m’étais rendu inconsciemment dépendant d’un médecin ou d’un traitement.
Super Notion
Merci Pascal pour ce premier document. J’aime beaucoup te lire. Tu écris très bien et tu écris très juste.
Pour ma part, je pense que la maladie est bien plus qu’une cellule qui se met à faire n’importe quoi. Je pense qu’elle est souvent le résultat très complexe d’une succession d’événements sur lesquels nous avons refusés de nous arrêter, dont nous avons refusés de prendre conscience. A un moment le corps dit STOP et la manière dont il le dit doit nous faire réfléchir. Devenir acteur de sa guérison peut parfois demander beaucoup de recul et de volonté pour aller au-delà de l’illusion que nous nous sommes créée. Parfois c’est trop, parfois même il est trop tard. Mais une chose est certaine si on n’essaie pas, si on ne se bat pas on n’y arrive pas.
Des propos aussi pertinents qu’éclairants pour nous tous !
Merci à toi Caroline de ces phrases que tu m’écris et qui sonnent comme un encouragement.
Je n’ai pas été long à m’avouer ce que j’avais du mal à abandonner. Et en même temps, je me suis rendu compte que cela va être difficile de le faire …
“Je me suis dit que les médecins s’étaient appropriés la connaissance en brûlant énormément de sorcières. Donc je me devais de relativiser la confiance qu’ils (les médecins) avaient de savoir que j’allais mourir dans un an ou deux. Et puis je me suis rappelé que des personnes mourraient du cancer et d’autres, à qui on promettait six mois de vie, s’en sortaient plus vivants que jamais”. Jeanine Fontaine
belle première notion qui place l’individu acteur et moteur du chemin de sa propre guérison
J’ai été choquée par la question du « vouloir » guérir. Et puis j’ai réalisé que ce n’était pas le cas pour mon mari. Ça a été compliqué pour moi de lui dire et encore plus pour lui de l’entendre. Il va certainement lui falloir du temps.
Je partage chaque mot écrit, chaque virgule et chaque espace. J’ai depuis quelques années cette conscience et ce constat en observant autour et en moi. De le lire dit par un autre m’a réveillé.
Merci pour cette bouffée d’oxygène et ce réveil ! (N.)
Moi aussi j’ai été longtemps dans l’espoir de l’arrivée d’un médicament miracle avant de me mettre dans la tête qu’il était inutile d’attendre pour me mettre à aller de l’avant
Ce texte possède à mes yeux une portée qui dépasse largement les cas relevant de “pathologie grave, d’un cancer, ou d’une maladie auto-immune, enfin, d’une maladie que le corps médical n’est pas certain de pouvoir guérir”. Je le relis régulièrement et cela m’aide beaucoup ! (B.)
merci pour ce texte, oui je veux guerir et entamer un processsus de guérison pour moi que je dois accomplir par moi meme
Je sais que, pour guérir, ou en tout cas aller mieux, je devrais modifier mes comportements (alimentation, activité physique, etc), et que ma maladie est souvent un prétexte pour moi comme pour l’extérieur, parce que l’effort est immense et douloureux et que le résultat est incertain aussi, il faut le dire.
Mais j’attends des résultats trop vite, impatience habituelle chez moi et congénitale. Comment changer ? Comment faire ce long chemin ? Je n’en suis qu’au début et pourtant je lutte depuis longtemps .
Je dis souvent aux personnes qui doutent et qui s’épuisent qu’il y a un temps pour tout. Celui de la réflexion, et celui de l’action. Autrement dit, celui de la recherche du pourquoi et du comment, et celui du changement (même si celui-ci est tout à fait symbolique).
Si vous souhaitez que nous échangions à ce propos, n’hésitez pas à me contacter en écrivant à contact@missionguerison.fr ou pascal-missionguerison@missionguerison.fr. Et n’ayez aucune crainte, nous sommes bénévoles et n’avons rien à vendre. “Mission Guérison” tente précisément de permettre aux personnes qui le désirent de s’engager du mieux possible sur le long chemin que vous évoquez.
Effectivement, l’hospitalisation nous donne un certain “confort” de vie. Le personnel encadrant notre séjour pendant la maladie avec une certaine empathie nous porte et nous aide. Il peut-être considéré comme situation de facilité que d’essayer de guérir à moitié.
Il est parfois bon de lire des textes comme le vôtre pour se remettre sur le chemin de la guérison totale.
Merci, je m’y mets dès demain ou après demain ou la semaine prochaine 🙂
J’ai personnellement mis du temps à sortir en conscience de cette zone de confiance …